J’ai rencontré Chan Koonchung en novembre dernier, dans un café de l’imposant centre commercial The Place (世贸天阶) à Pékin. Pendant 01h30, nous avons parlé de la société chinoise, du Parti unique et l’un des sports du régime: la réécriture de l’histoire et de la mémoire collective. Son roman, “Les années fastes”, sort ce mois-ci en France.
Voici la critique de Dominique Conil. Cette modeste vidéo accompagne son beau papier.